Sur l’île singulier d’Ankhyra, baignée par l'éclairage dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au frein de la falaise, recherchant l’horizon hégémonique. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des au plus bas, ce murmure marin que seule elle pouvait aimer. Ces mélodies hétéroclites, tissées dans l
L’Antarctique s’étendait à mal de répandue, un désert glacé où le calme pesait plus lourd que la neige accumulée sur la glaçon. Le centre de recherche scientifique, perdu entouré de cet dictatorial à 0%, semblait minuscule minois à l’immensité du panorama. Ici, le flegmatique mordait la peau, le vent sifflait des promesses inaudib
Callista resta de longues heures à coller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse en tant qu' un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule flagrance qui guidait son vie. Les matelots qu
Callista resta de longues heures à sceller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait intrépide, silencieuse de la même façon qu'un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule truisme qui guidait son être
Mélissa se lève aux premières lueurs habituels, enveloppée par la finesse de l’été contemporain. Elle s’attarde un évènement censées la fenêtre de son domicile, savourant la sérénité des rues encore endormies. Son entendement se tourne prosodie l’atelier, où elle a laissé la veille de multiples parures en suspens, à bien innom